Nagyon kiakadt Ukrajna a FIFA-ra, bocsánatkérést követel
A Nemzetközi Labdarúgó szövetség olyan térképet használt, amelyen a Krím Oroszországhoz tartozik.
Il faut surtout que le Pakistan collabore davantage à la solution qu'il ne l'a fait jusqu'ici dans la lutte contre al-Qaida et dans la guerre afghane.
„L'élimination de Ben Laden va-t-elle conduire les États-Unis à considérer qu'ils ont accompli en Afghanistan l'essentiel de la mission qu'ils s'étaient fixée au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 ? Cette question est trompeuse parce qu'elle occulte la nécessité de consolider le gouvernement afghan afin qu'il puisse étendre son contrôle à l'ensemble du pays. Elle résume toutefois le nouveau climat dans lequel va se dérouler le débat sur la présence des troupes alliées en Afghanistan.
Le personnage de Ben Laden avait acquis une telle importance symbolique que sa disparition modifie la perception des enjeux et pourrait amener à redéfinir les objectifs alliés à Kaboul. A l'approche d'une campagne électorale, Barack Obama pourrait profiter des circonstances pour accélérer un retrait qui doit s'étaler de juillet prochain à 2014. La mort de Ben Laden serait alors le début de la fin de la guerre en Afghanistan.
Encore faut-il qu'un règlement politique se dessine et qu'une fraction des talibans se prête au jeu. Il faut surtout que le Pakistan collabore davantage à la solution qu'il ne l'a fait jusqu'ici dans la lutte contre al-Qaida et dans la guerre afghane. Le sanctuaire trouvé pendant cinq ans par Ben Laden, à l'ombre du »Saint-Cyr« pakistanais, montre à quel point le Pakistan est devenu un problème aussi grave que l'Afghanistan.”