„Örök szerelem, ettől nem lehet elszakadni” – így vallott a visszatéréséről a Mandinernek az olimpiai bajnok
Szász Emese a decemberi országos csapatbajnokságon a gyermekei előtt léphet ismét pástra.
La crise n'a évidemment pas été résolue.
„Comment jugez-vous les récents événements survenus au sein de l'eurozone et le sort de la Grèce?
La crise n'a évidemment pas été résolue. Les semaines à venir, et particulièrement les deux prochaines, seront déterminantes tant pour la Grèce que pour l'Italie. Je crois toutefois que la résolution des dirigeants est réelle.
Des semaines déterminantes pourquoi?
Les ressources envisagées pour le Fonds européen de stabilité financière (FESF) devraient, en théorie, être suffisantes pour résoudre l'aspect le plus aigu de la crise financière et apaiser les marchés. A condition d'être utilisées à bon escient.
Mais si ce n'est pas le cas, le problème sera, en revanche, très grave car les dirigeants ne pourront les augmenter, compte tenu, entre autres, des réticences de la Cour constitutionnelle allemande. Et cela reste, pour moi, un sujet de grande préoccupation.
Vous redoutez encore une contagion de la crise grecque?
L'Italie est endettée mais elle n'est pas insolvable. Le danger plus général est lié à la combinaison des difficultés. Il y a le problème bancaire, lié à la détention par divers établissements de titres devenus porteurs de risques élevés, et le problème de l'endettement de certains pays. Les ressources actuelles du FESF ne seront pas suffisantes pour résoudre les deux aspects. En fait, les autorités politiques ne comprennent pas que les marchés n'ont pas l'expérience pour les gérer.
Ces derniers d'ailleurs restent inquiets; ils attendent une position unifiée des autorités en demandant que les moyens financiers prévus servent à atteindre les buts fixés. Du côté bancaire, le grand problème des six mois à venir sera, en tout cas, celui d'un nouveau resserrement du crédit.”